đȘ Comme Un Vol De Gerfaut Hors Du Charnier Natal
1842- 1905 Les conquĂ©rants Comme un vol de gerfauts hors du charnier natal, FatiguĂ©s de porter leurs misĂšres hautaines, De Palos de Moguer, routiers et capitaines Partaient, ivres d'un rĂȘve
EmilieBourdet: Je recherche le nom des graminĂ©es poussant autour de chez Jordan.izz: JâespĂšre qu'il ne va pas geler sur place ! TrĂšs belle Jordan: LĂ©zard TrĂšs beau ce dernier
Commeun vol de gerfauts hors du charnier natal Ădito Colon Jeremiah Owyang rĂ©sume : "La Silicon Valley s'est rĂ©pandue Ă travers le monde. Les gouvernements ne s'en sont GeneviĂšve
Commeun vol de gerfauts1 hors du charnier natal2, FatiguĂ©s de porter leurs misĂšres hautaines, De Gerfaut : oiseaux de proie, grands faucons dâEurope du Nord. 2. Charnier natal : dĂ©signe le nid des rapaces, contenant les os de leurs victimes. 3. Palos et Moguer : deux ports situĂ©s au sud de lâEspagne. 4. Routiers : au Moyen Ăge, soldats pillards. 5. Cipango : nom que les
Comme un vol de gerfaut hors du charnier natal FatiguĂ©s de porter leurs misĂšres hautaines De Palos de Moguer, routiers et capitaines Partaient, ivres d'un rĂȘve hĂ©roĂŻque et brutal" ou encore "Nous partĂźmes cinq cent mais par un prompt renfort Nous nous vĂźmes trois mille en arrivant au port" Mais peut ĂȘtre aussi:
LesConquĂ©rants Comme un vol de gerfauts hors du charnier natal, FatiguĂ©s de porter leurs misĂšres hautaines, De Palos de Moguer, routiers et capitaines Partaient, ivres d'un rĂȘve hĂ©roĂŻque et brutal. Ils allaient conquĂ©rir le fabuleux mĂ©tal Que Cipango mĂ»rit dans ses mines lointaines, Et les vents alizĂ©s inclinaient leurs antennes Aux bords mystĂ©rieux du monde Occidental. Chaque
Commeun vol de gerfauts hors du charnier natal. FatiguĂ©s de porter leur misĂšres hautaines. De Palos de Moguer, routiers et capitaines . Partaient ivres d'un rĂȘve hĂ©roĂŻque et
Ilnâest pas rare dây trouver un plafond blanc Louis XV, soutenu par des piliers de la Susiane en briques vernissĂ©es, vert et lie-de-vin; un boudoir sombre et carrĂ©, alternant avec une salle dâĂ©tude ovale dĂ©corĂ©e dans le goĂ»t de Sans-Souci; une chambre Ă coucher sĂ©pulcrale meublĂ©e comme une cour dâassises, une salle Ă manger plaquĂ©e de cĂ©ramiques {42} diverses, avec un
Quandil yâa le souci de rĂ©aliser un dessin Tout devient facile pour arriver Ă nos fins MalgrĂ© les obstacles qui sâopposent En dĂ©pit des difficultĂ©s des qui sâinterposent Les Ă©tudes sont avant tout Notre unique et seul atout Ils reprĂ©sentent la lumiĂšre de notre existence LâĂ©toile brillante de notre jouissance Comme un vol du gerfaut hors du charnier natal Nous partons ivres d
Comme un vol de gerfauts hors du charnier natal, FatiguĂ©s de porter leurs misĂšres hautaines, De Palos de Moguer, routiers et capitaines Partaient, ivres dâun rĂȘve hĂ©roĂŻque et brutal. Ils allaient conquĂ©rir le fabuleux mĂ©tal Que Cipango mĂ»rit dans ses mines lointaines, Et les vents alizĂ©s inclinaient leurs antennes
Praha- de StarĂ© Mesto Ă MalĂ Strana; Praha - Le pont Charles, musĂ©e et croisiĂšre; Praha - les bords de la Vltava, la vieille ville et la gare centrale; Praha - les crĂȘches du Pont Charles; Praha - ParizskĂ , le quartier juif et la colline de Petrin; Praha - Le musĂ©e d'Art Moderne Kampa et ses alentours; Praha - Alfons Maria Mucha; A la
Cest James Sallis qui le dit: " Les intrigues de Manchette () sont dépouillées, essentielles, archétypales" . La place de son personn
Commeun vol de gerfauts hors du charnier natal, FatiguĂ©s de porter leurs misĂšres hautaines, De Palos de Moguer, routiers et capitaines Partaient, ivres dâun rĂȘve hĂ©roĂŻque et brutal. Ils allaient conquĂ©rir le fabuleux mĂ©tal Que
Lamanifestation visible dans le cadre de la ménagerie du Jardin des plantes n'est que l'étape ultime d'un parcours élaboré avec comme partenaires : les vautours. Vivre avec les vautours
Desfabricants de matĂ©riel informatique, comme le Un de nos clients, qui a une filiale au BrĂ©sil, s'est fourni lĂ bas Ă des prix beaucoup moins Ă©levĂ©s que ce qu'il nous paie en France pour les mĂȘmes Ă©quipements. A voir la diffĂ©rence, il n'est pas loin de penser qu'il s'est fait rouler. Du coup, il essaie de se fournir au BrĂ©sil plutĂŽt qu'ici, pour ses nouveaux matĂ©riels Ă
vgYL. Le naufragĂ©Avec la brise en poupe et par un ciel serein,Voyant le Phare fuir Ă travers la mĂąture,Il est parti d'Egypte au lever de l'Arcture,Fier de sa nef rapide aux flancs doublĂ©s d' ne reverra plus le mĂŽle le sable oĂč pas mĂȘme un chevreau ne pĂątureLa tempĂȘte a creusĂ© sa triste sĂ©pulture ;Le vent du large y tord quelque arbuste pli le plus profond de la mouvante dune,En la nuit sans aurore et sans astre et sans lune,Que le navigateur trouve enfin le repos !Ă Terre, ĂŽ Mer, pitiĂ© pour son Ombre anxieuse !Et sur la rive hellĂšne oĂč sont venus ses os,Soyez-lui, toi, lĂ©gĂšre, et toi, silencieuse. ______________________________________________Les conquĂ©rantsComme un vol de gerfauts hors du charnier natal,FatiguĂ©s de porter leurs misĂšres hautaines,De Palos de Moguer, routiers et capitainesPartaient, ivres d'un rĂȘve hĂ©roĂŻque et allaient conquĂ©rir le fabuleux mĂ©talQue Cipango mĂ»rit dans ses mines lointaines,Et les vents alizĂ©s inclinaient leurs antennesAux bords mystĂ©rieux du monde soir, espĂ©rant des lendemains Ă©piques,L'azur phosphorescent de la mer des TropiquesEnchantait leur sommeil d'un mirage dorĂ© ;Ou penchĂ©s Ă l'avant des blanches caravelles,Ils regardaient monter en un ciel ignorĂ©Du fond de l'OcĂ©an des Ă©toiles nouvelles. ________________________________________________La flĂ»teVoici le soir. Au ciel passe un vol de ne vaut pour charmer une amoureuse fiĂšvre,Ă chevrier, le son d'un pipeau sur la lĂšvreQu'accompagne un bruit frais de source entre les l'ombre du platane oĂč nous nous allongeonsL'herbe est plus molle. Laisse, ami, l'errante chĂšvre,Sourde aux chevrotements du chevreau qu'elle sĂšvre,Escalader la roche et brouter les flĂ»te, faite avec sept tiges de ciguĂ«InĂ©gales que joint un peu de cire, aiguĂ«Ou grave, pleure, chante ou gĂ©mit Ă mon Nous t'enseignerons l'art divin du SilĂšne,Et tes soupirs d'amour, de ce tuyau sacrĂ©,S'envoleront parmi l'harmonieuse haleine. ______________________________________________Le litQu'il soit encourtinĂ© de brocart ou de serge,Triste comme une tombe ou joyeux comme un nid,C'est lĂ que l'homme naĂźt, se repose et s'unit,Enfant, Ă©poux, vieillard, aĂŻeule, femme ou ou nuptial, que l'eau sainte l'aspergeSous le noir crucifix ou le rameau bĂ©nit,C'est lĂ que tout commence et lĂ que tout finit,De la premiĂšre aurore au feu du dernier rustique et clos, ou fier du pavillonTriomphalement peint d'or et de vermillon,Qu'il soit de chĂȘne brut, de cyprĂšs ou d'Ă©rable ;Heureux qui peut dormir sans peur et sans remordsDans le lit paternel, massif et vĂ©nĂ©rable,OĂč tous les siens sont nĂ©s aussi bien qu'ils sont morts.
Du scribe, jâai lâĂ©chine docile et lâĆil stupide, mon tempĂ©rament mâinvite Ă confondre la suie dĂ©posĂ©e sur la vitre avec lâespĂšce de nuit qui sâagite au-dehors. Toute proie a son ombre, dit-on â autant mĂȘler lâune et lâautre. » Donc, croyez-moi, ne me croyez pas, peu importe, puisque toute vie racontĂ©e nâest quâun violent processus de dĂ©figuration. » Larves et imagos, oiseaux marins estropiĂ©s, Ă©ponges et coraux, fleurs jaillies du fumier⊠Hors du charnier natal est portĂ© par une langue scaphandre et lance-flammes » toujours puissante, imagĂ©e, incisive, qui perce et fouit les chairs et les phrases ; une Ă©criture corporelle, qui donne corps, qui est un corps, un grand corps plein de tripes, dâarticulations, de tendons, de nerfs avec lequel en dĂ©coud » un Claro pyromane, provocateur, irrĂ©vĂ©rencieux, gouailleur. â On voit le sang gicler, on entend claquer les tendons du cou, crisser les os de la colonne, mais sans jamais voir le sourire du monarque ». Du rĂ©cit biographique de la vie de NikolaĂŻ Mikloukho-MaklaĂŻ anthropologue et biologiste russe de la fin du XIXe ayant vĂ©cu en Nouvelle-GuinĂ©e auprĂšs de populations papoues, le livre bascule vers lâautofiction et la mise en scĂšne de lâĂ©crivain qui sâinterroge sur lui-mĂȘme, lâĂ©criture et son sujet, par le biais dâallers et retours entre la troisiĂšme et la premiĂšre personne â qui parfois se confondent. Voici donc un narrateur qui commente sans cesse le rĂ©cit, fait remarquer lâabsence de paragraphes ornementaux ou digressifs, avoue ignorer certains Ă©pisodes et se dispense de faire quelques recherches, quelques efforts, qui produiraient du ciselĂ© main, certes, mais un peu loin des couilles » La chose mâa certes effleurĂ©, mais jâai craint quâelle ne sente trop le procĂ©dĂ©. Quâon en voie les ficelles. Les sutures. » Un narrateur qui dĂ©cortique images et formules comme des crevettes, dĂ©barrasse lâĂ©criture de sa gangue â quâil rĂ©vĂšle et ausculte â et nâa de cesse de boxer son sujet, ce fier Ă©crin » que lâĂ©crivain offre Ă sa fainĂ©antise ou son impuissance ». Cette bataille entre le sujet et le livre rend visible lâobjet de langage quâest ce dernier et laisse au lecteur la place de sây installer, dâimaginer et de critiquer. De faire son boulot de lecteur, somme toute. Ce qui est loin dâĂȘtre anodin, innocent ou commun. Ici, pas de romancier qui nous guide de sa badine le long de sentiers battus. Nous sommes autant confrontĂ©s Ă notre intĂ©rĂȘt grandissant pour un anthropologue russe misanthrope quâĂ lâĂ©criture qui se crĂ©e et Ă un narrateur qui refuse de nous prendre pour des cons ou par la main et sâinterroge sur ce quâil a lui-mĂȘme Ă faire de NikolaĂŻ Machinchose ». Claro laisse transparaĂźtre le grand lecteur quâil est, nourrit et forgĂ© par des auteurs dont le lecteur attentif retrouve la trace dans le livre, des poĂštes dĂ©vorĂ©s aux auteurs traduits Baudelaire, Rimbaud, Proust, Eleni Sikelani, William T. VollmannâŠ, dont les mots digĂ©rĂ©s sont devenus Ă©lĂ©ments de langage, strates de souvenirs » intĂ©grĂ©es au flux. Dans ce Charnier natal, oĂč les trappes ouvertes par lâĂ©criture sont oubliettes et passages, les images, les associations dâidĂ©es incongrues et dĂ©routantes, sourdent en une puissance taurine et dĂ©licate, dans ce double mouvement qui excave et Ă©lĂšve, fidĂšle aux obsessions de lâĂ©crivain immobile et en feu. Lâapparition inattendue, par le truchement dâune correspondance, dâun superbe je » fĂ©minin libĂšre une voix insolente et caustique qui se secoue comme lâĂ©crivain pour se dĂ©barrasser de sa mue, de ses oripeaux, et offre des morceaux parmi les plus jubilatoires du livre. Car si Claro expĂ©rimente, Ă©branle et impressionne, il rĂ©jouit aussi par sa capacitĂ© Ă retourner les stĂ©rĂ©otypes contre eux-mĂȘmes, Ă se jouer de la langue et de ses structures, Ă capter du coin de lâĆil les mouvements pĂ©riphĂ©riques et les vols des gerfauts, Ă saisir et montrer ce quâil y a de purement jouissif dans lâĂ©criture. Un plaisir contagieux. Hors du charnier natal, Claro. Ăditions inculte/derniĂšre marge, 2017. 144 pages. Lou Le site des Ă©ditions inculte/derniĂšre marge â Le Clavier Cannibale de Claro Lire aussi lâentretien dâUn Dernier Livre avant la fin du monde avec Claro.
Ce blog est personnel, la rĂ©daction nâest pas Ă lâorigine de ses contenus. Emmanuel Macron, le 16 octobre voir ici Il nây a pas de hasard si, ce soir, câest un enseignant que ce terroriste a abattu, parce quâil a voulu abattre la RĂ©publique dans ses valeurs, les LumiĂšres. ⊠Lâobscurantisme et la violence ne gagneront pas »François Hollande, le 17 octobre voir ici Face au terrorisme islamiste, nous gagnons des batailles, mais nous n'avons pas terminĂ© la guerre. »Manuel Valls, le 18 octobre voir ici Jean-Luc MĂ©lenchon a sa part de responsabilitĂ© dans cette lĂąchetĂ© qu'il y a eu de la part de la gauche »Bernard Cazeneuve, le 19 voir ici Je parle bien entendu dâun certain nombre de dĂ©putĂ©s insoumis qui ne se comportent pas de façon rĂ©publicaine [et] sont grandement responsables de ce qui existe dans ce pays »Le 4 mars 2015, le prĂ©sident de la RĂ©publique François Hollande recevait Ă lâĂlysĂ©e dans la plus grande discrĂ©tion Mohammed ben Nayef, prince hĂ©ritier dâArabie Saoudite, pour le dĂ©corer de la LĂ©gion dâhonneur. Il a ensuite Ă©tĂ© reçu par le Premier ministre Manuel Valls. Le ministre de lâIntĂ©rieur Bernard Cazeneuve et le ministre de la DĂ©fense Jean-Yves Le Drian se sont rendus Ă la rĂ©sidence du prince Ă Paris. Le ministre de lâĂconomie, Emmanuel Macron, lâa raccompagnĂ© Ă lâaĂ©roport. Lâagenda de François Hollande ne faisait pas mention de la dĂ©coration et aucun des agendas des ministres ne mentionnait leur entretien avec le prince saoudien voir ici.Le 13 octobre 2015, le Premier ministre Manuel Valls, en visite officielle Ă Riyad, annonçait la signature de contrats dâune valeur de 10 milliards dâeuros les fameuses valeurs de la RĂ©publique » et adressait ses trĂšs vifs remerciements Ă Son Altesse Royale le prince Mohamed ben Salmane » voir ici.Le 10 avril 2018, le prĂ©sident de la RĂ©publique Emmanuel Macron et le prince Mohamed ben Salmane signaient des protocoles dâaccord reprĂ©sentant une valeur de plus de 18 milliards de dollars voir ici.Ceux qui font la courbette devant les dirigeants dâun Ătat qui finance le terrorisme, dĂ©capite des dizaines de personnes chaque annĂ©e et dĂ©coupe les journalistes en morceaux sont Ă©videmment bien placĂ©s pour donner des leçons dans la lutte contre le terrorisme islamiste. Les choses sont simples, tout cela, c'est de la faute des islamo-gauchistes !
Mis Ă jour mardi 26 octobre 2021 1627 Ăcrit par ArkĂ©oTopia Imprimer E-mail Afin de faciliter lâaccĂšs Ă des poĂšmes traitant des diffĂ©rentes pĂ©riodes de la prĂ©histoire et de lâhistoire, la bande Ă Augustin a Ă©tabli une brĂšve sĂ©lection allant du prĂ©-palĂ©olithique Ă la pĂ©riode contemporaine. De quoi alimenter les cours de poĂ©sie pour les jeunes de 6 Ă 11 ans ou de se faire plaisir entre amis. PoĂ©sies sur la prĂ©histoire et lâhistoire Les poĂšmes qui suivent ont Ă©tĂ© choisis selon quatre critĂšres leur relation avec lâarchĂ©ologie, câest-Ă -dire avec les compĂ©tences techniques de lâĂȘtre humain Ă travers le temps, leur relation avec une pĂ©riode dĂ©finie du temps recouvrant autant la prĂ©histoire que lâhistoire, leur justesse scientifique câest-Ă -dire du point de vue archĂ©ologique dans la limite de nos connaissances actuelles, leur accessibilitĂ© pour des jeunes dâaujourdâhui. Le public ciblĂ© concerne les professeurs des Ă©coles enseignant en fin de cycle 1 CP, de cycle 2 CE1-CE2 et en cycle 3 CM1, CM2 et 6e ainsi que les passionnĂ©s dâarchĂ©ologie et de poĂ©sie quel que soit leur poĂšmes sĂ©lectionnĂ©s peuvent ĂȘtre utilisĂ©s en cours de poĂ©sie, mais Ă©galement en relation avec les cours de science pour lâHistoire, la gĂ©ographie et la dĂ©marche dâinvestigation ainsi que pour lâenseignement du numĂ©rique et des arts visuels en plus du français lexique. Une diversitĂ© de styles poĂ©tiques est recherchĂ©e avec alexandrins, sonnets, haĂŻkus, vers libres, etc. Les auteurs peuvent ĂȘtre de grands classiques comme des auteurs contemporains voire des jeunes ayant rĂ©alisĂ© une production dans le cadre d'un cours Ă l'Ă©cole ou au collĂšge. Sommaire La prĂ©histoire PrĂ©-PalĂ©olithique PalĂ©olithique MĂ©solithique NĂ©olithique L'histoire AntiquitĂ© Moyen Ăge PĂ©riode Moderne PĂ©riode Contemporaine La prĂ©histoire du PrĂ©-PalĂ©olithique au NĂ©olithique Rares sont les poĂšmes prĂ©sentant les diffĂ©rentes pĂ©riodes de la PrĂ©histoire. En voici un. Histoire de la PrĂ©histoire Comme un tout jeune enfant,Qui fait ses premiers pas,Au PrĂ©-PalĂ©olithique, tu te fier de toi, encore poursuivant,Tu dĂ©couvres le feu et tout en finesse,Au PalĂ©olithique, tu es un expert du de pertes de matiĂšre, il faut d'intelligence, tu vas MĂ©solithique, c'est la gloire des nous sommes, nous voilĂ dĂ©jĂ cosmopolites,Animaux et plantes sont NĂ©olithique, nous devenons Gransard-Desmond 1975- / CC BY NC SA, FĂ©vrier 2020 PrĂ©-PalĂ©olithique Faire du feu Prendre deux silex, Ce nâest pas le bon rĂ©flexe. Prendre un champignon ! On commence Ă ĂȘtre bon. On tape sur une pyrite Ca fait l'effet d'une dynamite. VoilĂ une belle Ă©tincelle ! Ajouter des brindilles pĂȘle-mĂȘle, On obtient un grand feu Qui fera des envieux !AurĂ©lie Pettoello, extrait de Comptines prĂ©historiques, Ădition L'hydre jeunesse, mai 2008Avec l'aimable autorisation de l'auteurPoĂšme adaptĂ© Ă des enfants de Cycle 2 CP-CE1-CE2 Retour au sommaire PalĂ©olithique Les Cro-Magnon L'un derriĂšre l'autre nous la recherche des lancerons les pierres qui tuentPour nourrir toute la nous appelle prĂ©historique,Mais nous inventons la dans nos grottes vĂ©nĂ©rĂ©es,Naissent les premiers artistes et l' cent, dans mille, dans dix mille ans,Dans le regard d'un enfant savant,Nos animaux reprendront de nouveaux dans nos esprits,Mammouths et bisons danseront,GrĂące aux hommes de Lamblin Merci le renne ! Je tanne une peau de rennePour en faire une robe d'hiver,J'y accrocherai des perles par centaines,Elle sera vraiment super !Je tanne un peau de rennePour en faire des chaussures,Avec un peu d'ocre et trois poils de hyĂšne,Elles auront fiĂšre allure !Je tanne un peau de rennePour en faire une sacoche,Pour ranger mes fruits et mes grainesEt ne plus en avoir plein les poches !Je tanne un peau de rennePour en faire une toile de tente,Elle me protĂ©gera sans peine,Il y fera toujours trente !Merci le renne !AurĂ©lie Pettoello, extrait de Comptines prĂ©historiques, Ădition L'hydre jeunesse, mai 2008Avec l'aimable autorisation de l'auteurPoĂšme adaptĂ© Ă des enfants de Cycle 2 CE1-CE2 Homme de la preÌhistoire Avec tes dessins dâun autre aÌge,Vestiges de ton passage,Tu as nourri notre imagination,Depuis tant de espoir quand tu as fait le feu !Combien tu as duÌ eÌtre heureux !Puis, tu as eÌleveÌ des as dresseÌ des as travailleÌ la terreEt deÌcouvert le as graveÌ la pierreEt nous as laisseÌ tes inconnu Lâhomme de Lascaux Dans la grotte de Lascaux,Courent des centaines d' bisons, des rennes, des chevaux,Des cerfs, des vaches et des taureaux...Mais les artistes gĂ©niauxQui ont peint ces animaux,N'ont laissĂ©, sur les parois de Lascaux,Qu'un seul homme et qu'un seul scĂšne pathĂ©tiqueDe chasse au palĂ©olithique Un homme de Cro-MagnonRenversĂ© par un ce qui est Ă©tonnant,Pour ne pas dire renversant,C'est que le seul homme de LascauxAit une tĂȘte d' inconnu Retour au sommaire MĂ©solithique En attente d'un texte adaptĂ© Retour au sommaire NĂ©olithique RĂ©volution NĂ©olithique JâĂ©tais nomade et je vagabondais voici sĂ©dentaire, fixĂ© depuis lors. Dans ma hutte de paille, dâargile et de bois,Jâai trouvĂ© le plaisir dâĂȘtre en un seul bien aprĂšs le feu, les outils et les arts,Le jour sâest relevĂ© sur de nouveaux savoirs. Plus que lassĂ© de ces techniques aguerries,Je mâamuse et je crĂ©e de tout nouveaux et puis je stocke tous les grains de blĂ©,Que chĂšvres et moutons nâont pas voulu nos armes en cuivre et nos innovations, Faisons vivre alentour cette Gransard-Desmond 1975- / CC BY NC SA, Mai 2020 Nouvelle Ăšre Un jour je me suis dis jâarrĂȘte de courir ! » Et je me suis posĂ© au bord de la riviĂšre. Jâai choisi de changer, jâai choisi de construire, Et de rendre pour moi la terre nourriciĂšre. Le jour sâest relevĂ© sur de nouveaux savoirs Mes anciennes techniques sont amĂ©liorĂ©es, Je ne voulais plus rien qui soit alĂ©atoire Jâai semĂ©, engrangĂ©, cultivĂ©, Ă©levĂ© ! Dans ma hutte de paille, dâargile et de bois, Le foyer allumĂ© et la couche moĂ«lleuse Jâai trouvĂ© le plaisir dâĂȘtre Ă un seul endroit. Alors je dis VoilĂ ! La vie est prodigieuse ! » Ils diront bien plus tard Câest le NĂ©olithique. Ils ont fait des outils plus affinĂ©s quâavant, Ils ont creusĂ© les champs, ont rendu domestiques Les animaux sauvages, sont devenus marchands. » Christiane Angibous-Esnault 1947- / CC BY NC SA, Mai 2020 Retour au sommaire Renku tirĂ© de Alsace ViĂȘt-Nam, l'escapade d'un rĂȘve L'histoire de l'AntiquitĂ© Ă la pĂ©riode contemporaine AntiquitĂ© Les Gaulois Rendus ceÌleÌbres par Goscinny et Uderzo Qui racontent les aventures de deux heÌros, Lâun petit et mince, et lâautre un peu plus gros Ce sont les Gaulois, ce sont les Gaulois. ArriveÌs en Gaule vers moins huit cents, Celtes et Grecs ont cohabiteÌ pacifiquement. Leurs voisins ont alors dit dâeux, naturellement, Ce sont des Gaulois, ce sont des Gaulois. Excellents agriculteurs et forgerons, Amateurs de cervoise, est alors apparue une question. Inventer le tonneau fut la solution. Ce sont les Gaulois, ce sont les Gaulois ! Et si un jour dans la rue vous croisez Un homme portant moustache, tunique et braies, Alors vous aussi vous pourrez clamer Câest un Gaulois, câest un Gaulois ! Romain Bernaud Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage, Ou comme cestuy-lĂ qui conquit la toison, Et puis est retournĂ©, plein d'usage et raison, Vivre entre ses parents le reste de son Ăąge ! Quand reverrai-je, hĂ©las, de mon petit village Fumer la cheminĂ©e, et en quelle saison Reverrai-je le clos de ma pauvre maison, Qui m'est une province, et beaucoup davantage ? Plus me plaĂźt le sĂ©jour qu'ont bĂąti mes aĂŻeux, Que des palais Romains le front audacieux, Plus que le marbre dur me plaĂźt l'ardoise fine Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin, Plus mon petit LirĂ©, que le mont Palatin, Et plus que l'air marin la doulceur du Bellay 1522-1560, Les Regrets, sonnet XXXI, Janvier 1558 Retour au sommaire Moyen Ăge Chant du chevalier Il Ă©tait noble, il Ă©tait fort. Il se battait pour une reine. Il Ă©tait noble, il Ă©tait fort Et fidĂšle jusquâĂ la mort. Il la prit par la main un soir. CâĂ©tait la plus pauvre des reines Il la prit par la main un soir Et la fit sur le trĂŽne asseoir. Il posa la couronne dâor CâĂ©tait la plus humble des reines Il posa la couronne dâor Sur sa tĂȘte comme un trĂ©sor. Haut lâĂ©pĂ©e, il se tenait droit CâĂ©tait la plus faible des reines Haut lâĂ©pĂ©e, il se tenait droit Pour la dĂ©fendre, elle et son droit. Ă ses pieds tristes, en vainqueur, CâĂ©tait la plus triste des reines Ă ses pieds tristes, en vainqueur, Il mit le monde⊠Hors son cĆur. Il mourut pour sa reine un jour. CâĂ©tait la plus pauvre des reines Il mourut pour sa reine un jour⊠Il aimait une autre dâamour. Marie NoĂ«l 1883-1967, Chants dâarriĂšre-saison, 1961 La gargouille Ouille ouille ouille, sâeÌcrie la gargouille ! Si câest la feÌte aÌ la grenouille, Câest la feÌte aÌ mes cervicales, Je nâvous parle pas de mes dorsales, Bref, pas moyen dâaller au bal ! T
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